Présentation de Mélana

Nom : Mélana n'est...pas mon véritable nom. En réalité, je me nomme Méalaenea...Fatiguant, non? Rare sont les gens qui le prononce, non pas parce que c'est impossible à prononcé correctement mais parce que j'ai "changé" de nom...Depuis que je suis devenue Vampire. Personne ne m'appelle Méalaenea, même pas mon ancienne famille, d'ailleurs j'espère qu'ils ne pensent plus à moi.

Race: Anciennement Elfe, je suis désormais Vampire, malheureusement.

Sexe: Féminin


Royaume/Région : Je suis une vampire solitaire. Je ne me vois pas vivre avec les autres vampires, je ne suis pas comme eux tout en l'étant. Les Vampires étant des monstres, j'évite leur compagnie enfin c'est une façon de parler vu que d'un autre côté je les cherchent. Étrange, non?


Métier : Je erre toute seule depuis longtemps, je suis donc Vampire Solitaire.


Histoire:
Je ne connais pas mes vrai parents. Cependant, j'ai une piste mes cheveux sont noirs, si j'avais été fille d'elfes sylvains j'aurais été blonde. Or, mes cheveux sont plus noir que les plumes d'un corbeau. A force de méditer et réfléchir sachant que je suis ou plutôt que j'étais, bel et bien une elfe, j'en ai conclu que j'étais surement la fille d' Elfes Noirs. L'idée ne me plais certes pas mais, c'est ainsi. De toute façon je ne les chercheraient pas, ils m'ont abandonnée à moins que je fus enlevée mais je ne pense pas.

Bref, je fut élevée par une famille de paysans dans la région d'Hochland, dans un village perdu enouré d'une vaste et dense forêt. Mes parents adoptifs étaient des gens infectes et "oppresseurs". Je n'étais pas la seule adoptée, nous étions aux environs de 7:Moi, Isélyse, Elewën, Damalya, Ylena, Tylen et Corlen. Tous étaient des humains à par Elewën en qui je vis et vois toujours un frère, lui aussi était elfe, surement sylvain à en jugé par son visage et sa carrure. Tout n'était que peine et travail, mes "parents" ne faisaient rien et nous autres, tous. Chaque jour était une véritable torture étant donné que nous ne mangions qu'une sorte de bouillie ou soupe constitué de légumes et céréales relativement moisies. A chaque levé de soleil nous partions dans les champs de nos parents en espérant ne pas trop se blesser. Les journées étaient longue voir interminables et nous ne trouvions repos -relativement- à la nuit tombée.

Nous avions tous de 17 à 20 ans au moment de notre fugue. Moi étais la plus jeune, j'avais 17 petites années et Corlen était le plus âgé.

Un jour de grand soleil, alors que nous étions dans les champs, Ylena finit par craquer. Elle tomba à la renverse en pleurant toutes les larmes de son corps. Nous ne pouvions que hocher la tête à tout ce qu'elle disait car elle disait vrai. Nous étions mal nourris, mal logés, fatigués en permanence, détestaient par nos soit disant parents. La voyant ainsi, Damalya s'assit près d'elle et se mit elle aussi à pleurer -de rage je pense à en jugé par les mots que la jeune humaine prononcés- Corlen et Tylen se hâtèrent de partir pour faire la corvée de leurs jeunes sœurs en vociférant menaces et en marmonnant des mots inaudible au sujet de nos parents, ou de la vie, je ne sais pas. Moi et Elewën après avoir longuement discuté, nous rendîmes à la maison. Nous avions décidé de dire à nos dictateurs que nous en avions assez à présent.

Au moment même où nous entrâmes dans la maison notre père bondit de sa chaise et nous lança un regard furibond, comme aucun de nous ne reculer il s'approcha et se mit à nous crier insultes avanat de continué en minaudant:

-Si vous ne cessez pas, tas d'ignobles ingrats, je devrais punir vos frères et sœurs. Malheureusement, ce sera de votre faute...Quel dommage, plus jamais ils ne vous adresserons la parole.

Je jetais un coup d'œil rapide vers mon très cher père, je ne sais pas ce qu'il m'a pris mais je lui ai rentrais dedans de mes faibles forces, cette vielle chose cilla et m'attrapa par le bras en me hurlant à la figure:

-Tu sera privée de repas pendant un petit moment, sale elfe!

Puis il me lâcha au sol et je répondit d'un air abattu:

-Pardonnez-moi, mon père.Plus jamais je ne vous offenserez.

Puis je sortit en trombe suivis d' Elewën qui avait l'air indigné, nous entendîmes les rires de nos parents et j'étouffais un rire. Mon ami me regarda d'un air furieux et je lui expliqua mon plan. Nous partîmes en forêt, anticipais la chose.Plus tard dans la soirée, nous partîmes chercher les autres. Après avoir mangé notre habituelle chose, je me tournais vers mes frères et sœurs et leur expliqua mon plan:

-Bon je vous explique mon plan: nous allons nous évader. Chut, c'est moi qui parle Ylena. Nous avons tout prévu. Nos parents dorment vers 10 heures du soir. Dès que nous entendrons les ronflements sourds de notre père, nous descendrons sans faire de bruit, en emportant toutes leurs provisions. C'est aussi simple que cela. Nous allons partir par la forêt au Nord de la ferme. Nous quitterons le sentier et nous dirigerons vers le Nord en suivant les traces de mousse sur les arbres.

Mes amis furent surpris par la simplicité de notre plan mais hochèrent la tête. Ainsi à 10 heures trente nous nous évadâmes de la maison. Nous descendîmes les escaliers en douceur puis nous volâmes notre dû. Enfin nous fermâmes la porte doucement derrière nous en étant comme dans une état second. Puis nous partîmes en groupe sous la nuit noir et sans étoile en prenant soin d'effacer nos traces. Arrivés dans la lisière de la forêt, Isélyse sauta et cria de joie faisant volé autour d'elle ses longs cheveux châtains emmêlés. Nous éclatâmes de rire en silence et Tylen attrapa Isélyse par la bras et l'arrêta d'un coup net. Damalya étouffa une exclamation de surprise en le voyant mettre l'ambiance par terre. Isélyse se débattit mais rien à faire Tylen la tenait d'une poigne de fer. Il lui dit de se taire un peu et Isélyse se calma et marcha silencieusement à ses côtés. Je marchais en arrière pour ma part avec Elewën, joyeusement mais prudemment; Nous étions enfin libres!!! En marchand nous nous jurâmes de ne plus jamais se quitter désormais, nous étions aux anges, nous allions être ensemble pour toujours rien ne pourrais jamais nous séparés. Pour toujours nous étions liés les uns aux autres un peu comme des fils entremêlaient, image drôle qui fit de nouveau éclater Isélyse de son rire aigu et déclencha de nouveau le regard foudroyant de Tylen pour elle. Elle se ratatina tellement qu'il se mit lui aussi à hurler de rire. Nous étions comme de jeunes oiseaux qui partaient avec joie vers un nouveau monde plein de danger et de bonheur. Isélyse se mit elle aussi à le foudroyait du regard et Damalya rit doucement en regardant ses deux amis. Finalement Isélyse et Tylen se calmèrent et marchèrent devant, toujours au bord du rire mais gardant son relatif sérieux pour l'emporter sur l'autre.

Heureux, ne ne nous rendîmes pas compte de l'obscurité de la forêt. Les arbres se faisaient plus touffus au fur et à mesure de notre avancée. La nuit d'encre n'aidait en rien et nous ne nous guidions que grâce aux sens aiguisés de moi et Elewën, les minutes passaient et nous rîmes bien, de plus en plus fort peut être, sachant que nos tyrans ne pourraient jamais nous rattraper. Tylen engagea la conversation en remettant en doute nos talents en matière d'orientation. Nous parlâmes avec animation et lançâmes quelques remarques amusantes les uns sur les autres. Ylena et Corlen ne dirent rien et restèrent tellement mués comme des tombe que nous pensâmes qu'ils s'étaient échappé. Isélyse demanda un peu d'eau à Ylena qui ne répondit pas.

D'un même geste nous nous retournâmes et vîmes avec horreur qu' Ylena et Corlen avaient disparu. Je sentie la main de Damalya se refermait sur mon bras avec insistance. Nous restâmes figés sur place jusqu'à ce que Tylen attrape Isélyse par les épaules et la secoue comme un prunier en parlant:

-Je t'avais dis de te taire! J'étais sûr que cette forêt n'était pas net.
-Mais nous y sommes aller en plein jour, réfléchit! Vociféra Damalya
-Et alors? s'indignant Tylen en tenant toujours Isélyse fermement
-Mais ils ne sont pas loin!! Criais-je à bout de nerf. Isélyse s'agita en se mettant à hurler
-LÂCHE-MOI!!
-Silence, j'ai entendu un bruit...Marmonna Elewën
-Moi, je vais en faire du bruit!! S'écria Damalya, elle était insupportable par moment: YLEEENAAA, COORLEEEN
-Mais tais-toi donc! Lui dis-je en lui mettant le doigt sur la bouche, écoute Elewën
-Ha, toi tu te moque de ce qu'ils vont devenir!! S'écria-t-elle.
-Très bien. Alors séparons nous. Dit Tylen
-Hors de question. Protesta Elewën.
-Tu n'a pas le droit de nous donner d'ordre moi je part, Ylena et Corlen vous valent bien tous. Ajouta méchamment Damalya.

Sur ce, elle s'éloigna et Isélyse se mit à trembler. Levant la tête et sans plus de cérémonies, nous avançâmes dans la forêt. Je sentie que Tylen s'était calmé et Isélyse se cramponnait à lui comme une vieille femme à la vie. Notre peur était palpable, et je tremblais comme une feuille moi aussi. Je m'aggrippais à la manche d'Elewën moi aussi. Nous débouchâmes dans une clairière emplie d'arbres difformes. Nous n'entendions que le crissement des feuilles sous nos pieds. Isélyse poussa alors une petit cris pitoyable qui nous fis tous sursautaient. Tylen la questionna et elle répondit qu'elle se sentait étrangement mal, il l'emmena avec lui plus loin et ils disparurent de notre vue. Nous nous assîmes et démarrâmes une conversation tendue. Nous ne savions ni où était Damalya ni Ylena ni Corlen ni Tylen ni Isélyse.

Soudain nous entendîmes un cris strident et terrifiant, la voix de Tylen sans aucun doute. Nous restâmes figer d'horreur . Je me sentie soudain très lourde, j'avais perdue ma légèreté et me sentais horriblement mal. Je le revis devant moi et eu du mal à ne pas flancher. Je sentie le bras d'Elewën se resserrais autour de moi et m'entrainais hors de la clairière. Nous courûmes et lui me porta presque, j' étais paralysée de peur tout étais très lent ou très rapide. Sa main se ressera sur la mienne et nous avançâmes, je ne put m'empêcher de crier:

-Arrêtes-toi!Je t'ordonne de t'arrêter!! Je suis sur que ce n'ai rien, ce n'est peut être qu'un loup.
-Un loup qui fait hurler Tylen , laisses moi rire!!Marmonna t-il.
-Mais..mais LÂCHE MOI NOUS DEVONS LES RETROUVER!!
-Mais tais-toi!!Ecoutes au lieu de hurler.

En effet je me sentie observée. Je vis autour de moi que les arbres semblaient êtres une véritable muraille. J'entendis une respiration douce et me tourna vers Elewën:

-Mais pourquoi respire-tu ainsi?
-Je...ne...respire...pas...je...me...retiens...C'est toi qui respire ainsi Mél?répondit-il d'une voix tendue
-N..non...Mais alors...Mais...AHHHHHHHHHHHH!!

Je sentie sa main me prendre par la taille et me jetais à terre. J'en hurlais de douleur. Face contre terre je n'osais pas bouger. Dans la nuit je me mis à chercher son visage, un visage ami... J'étais un peu pour ne pas dire vraiment assommée. Je me tournais avec maladresse sur le dos. Je le vit accroupie près de moi comme près d'une mourante. Énervée, je me mis çà bouger mais il m'arrêta avec force:

-Mais que fais-tu voyons, arrêtes! Nous ne sommes pas seuls...Marmonna t-il.
-Qui est là? Des loups? Dis-je bêtement et toujours aussi assommée.
-Non, je ne sais pas quoi, mais quelque chose bouge furtivement parmi les feuillages. Tu te sens bien?
-Non mais bien sur, je suis en pleine forme, laisses moi me lever et je peux courir dix lieues. Maugréais-je.
-Non, ne bouges surtout pas.
-Mais pourquoi m'as-tu jetée à terre?
-C'est plus sur.
-Je vais avoir du mal à courir comme ça...Laisses moi me lever, je vais très bien.
-Bien sur...
-Bien, pousses-toi.
-Silence, baisse d'un ton.
-Réprimes tes humeurs!!! Me mis-je à crier.
-Tu es insupportable.
-Je sais.
-C'est cela...

Je n'eus pas pas le temps de riposter que je fus de nouveau face contre terre. Tout se brouiller et je me sentie en plein chaos. Je voulu m'endormir profondément et me mis à bouger. C'est alors que je sentie un violent coup contre ma tête: un arbre sans aucun doute. Cela faisait trois fois en une heure que je tombais sur la tête. J'étouffais une exclamation et me recroquevillais. J'étais toute seule, par terre, dans la nuit, j'avais froid, je ne voyais rien, j'étais terrifiée, l'odeur des arbres et des racines humides me données la nausée. J'entendis soudainement des bavardages animés un peu plus loin et après tout qu'avais-je à perdre, je me décidais à m'y rendre.

(SUITE A VOIR DANS MON SECOND MESSAGE, je n'ai plus de place apparemment)


Apparence : Je suis une très jeune Vampire mon apparence laisse penser que je n'ai pas 20 ans. Je paraît donc très jeune. De plus je suis de petite taille et très mince. Je paraît très fragile et de ce que j'ai entendu, on dirait que l'on pourrait me briser en un claquement de doigts. Mais je ne le suis pas, depuis ma métamorphose je suis devenue encore plus belle qu'avant et on ne peut me briser en claquant les doigts...

Mon teint est très pâle, un peu comme de la neige. Mes cheveux d'un noir d'encre n'arrangent rien ou n'abîme rien, il faut voir. Mes yeux, même pour une petite Vampire dans mon genre sont d'un doré éclatant et mon regard est étrangement hypnotique. Je suis d'une grâce extrême. A part tout cela, j'ai les dents typique du Vampire...Enfin on me dis extrêmement belle...

Caractère : On peut dire que je suis une étrange Vampire, enfin je crois, je n'ai jamais vu de Vampire à par celui qui m'a faite Vampire et je n'ai pas eu l'occasion de lui parler.

Premièrement les crimes sanguinaires et franchement sauvages des Vampires me répugnent. De plus, le fait qu'ils cherchent des victimes pour ensuite détruire leur vie me dégoute. Et je sais de quoi je parle. Je les trouvent barbares même si ils sont raffinés, du moins certains le sont, pas tous, et même si je suis des leurs. Je ne sais pas vraiment si je suis très Vampire dans mon fort intérieur mais je dois l'être un peu puisque j'ai du mal ou je n'arrive pas...à me maîtriser. C'est malheureux et pourtant je le fait pas exprès. C'est un peu contre moi que j'agis mais je n'ai aucune excuse.

Malgré tout, je ne me morfond pas. De toute façon c'est ainsi, cela ne sert à rien de se détruire en pleurant matin, midi et soir. Je n'ai pas eu de chance ou plutôt si par rapport à mes compagnons. Depuis ma transformation, je suis devenue bien plus puissante et rapide, encore plus belle aussi peut être mais cela je l'étais déjà extrêmement selon mes anciens compagnons et connaissances. Je ne me crois pas supérieure aux autres Vampires, je pense leur être égale et de toute façon j'en aurais besoin. En effet je compte régler son compte à celui qui m'"ôta" la vie et surtout celle de mes amis, si ils ne s'en sont pas sortit. Je le hais prodigieusement, je pense...Sinon je suis souriante, très maligne, débordante d'énergie, peu prudente voir pas du tout, très attachante et je sais très bien joué la comédie.

J'espère aussi un jour retrouver mes compagnons de toujours, mes frères.

Equipement : Poignard d'Argent(artefact), Robe marron clair usagée, bottes de cuir souples, mitaines marrons usagées, cape verte passée.


Capacités spéciales : Dissimulation, Maître d'arme, Indémoralisable.

Artefact : Poignard d'Argent

Finis!

Suite.

Rampant parmi les arbres à la manière d'un serpent. Je ne voyais quasiment rien. Mes cheveux me tombaient sur le visage, ma vue baissait petit à petit. La fatigue devait me gagner mais je résistais tant bien que mal. Jusqu'à un certain point... Soudainement je sentie une pierre ou un tronc d'arbre me fracassé le crâne. Je me retins une fois encore de crier de douleur. Le choque fut si fort que ma vue se brouilla encore plus. J'étais aveugle. Je serrais les dents et continuais à avancer en me prenant arbres et branche dans le visage. J'en avais vraiment assez!

Malgré ma vue défaillante, j'entre aperçu un peu de lumière au bout du tunnel d'arbres et de racines. Je redoublais de vitesse -enfin...- cependant, étant aveugle, je du faire attention et avançais en rampant. Je sentie les larmes me monter aux yeux, ma tête me faisais plus que jamais souffrir. Je savais que je ne pourrais pas tenir longtemps ainsi.

C'est alors que je débouchais enfin dans la clairière. Ce n'était pas totalement dégagé mais je recouvrais soudain la vue, du moins légèrement... Mais pas pour voir ce que je voulais...

Ma respiration saccadée se stoppa net lorsque j'aperçus une silhouette appuyée contre un arbre. D'un coup je retrouvais la vue, la mobilité et j'oubliais mes maux de têtes. Elewën semblait...mort... Je bondit littéralement sur mes pieds et courut jusque' à la silhouette de mon frère. Jamais je n'aurais pensé être si mal dans ma vie. Une fois près de lui je m'accroupis et l'attraper par les épaules. Le secouant de mes faibles force, mais de toute façon, il ne me voyais pas. Ou à peine. Posant ma main tremblante sur son torse, je sentie son cœur battre, faiblement. Ses paupières papillonnaient, comme cherchant à se fermaient...

-Non, non, non, non, non, non... C'était la seule chose que je pouvais dire.

Je cherchais sur sa tête d'éventuelles blessures. Rien, à part quelques minces coupures. Mes mains tremblantes tapotaient faiblement ses joue. Baissant les yeux, je remarquais sur la chemise, des traces suspectes. Une longue griffure profonde parcourait son flanc. J'étais complètement morte de peur. Tandis que je tentais bêtement de stoppait l'hémorragie je remarquais que son regard se voilait. Prise d'un violent accès de frayeur je lui envoyais une gifle si forte qu'il en sursauta faiblement...

-Mélana...Marmonna-il faiblement
-Oui, oui je suis là...Répondis-je.

C'est alors que je sentie un regard intense dans mon dos. Malfaisant, c'était certain. Une fois de plus, je bondit sur mes pieds et scrutait le personne en face de moi. Aussitôt que j'aperçus des yeux brillant et sa silhouette sculpturale mon mal de tête revint, toujours plus fort. Je sentie l'Adrénaline montée en moi malgré tout, il me fascinée totalement. Il me regardait d'un air interrogateur. Je fit aussitôt le rapport malgré ma migraine atroce: Mes frères et sœurs - lui. Prise d'un accès de fureur incontrôlable je dégainais mon poignard et tentais de le toucher.

Mais, je me rendis vite compte que je ne faisait pas le poids. Personne ne l'aurais fait d'ailleurs. Il m'attrapa en plein élan par le poignet et me regarda avec mépris.

-Prévisible...Marmonna-il d'une voix amusée

Nous nous retrouvâmes face à face, nous affrontant du regard. Je le voyais très mal dans la pénombre mais quand il sourit je remarquais ses dents pointues, aiguisées dans la vie peu cultivée que j'avais eu, je n'avais jamais cru aux Vampires...A présent j'y croyais plus ou moins. Je clignais des yeux, totalement perdue...

-Commence à croire aux histoires de Vampires, Mélana, tu en vis une.Minauda-il.

Mon nom? Mais comment le savais-il? Je récapitulais avec mon reste de pensées claires la situation: J'étais perdue en pleine forêt, mes frères étaient morts ou autre part, ma migraine me donné envie de pleurer et un Vampire à la beauté complètement folle ma tenais par le bras et me regardait d'un air franchement éberlué. D'accord. Ma vue recommença à baisser à une vitesse affolante et je perdis connaissance. Ou du moins j'étais dans un état second je ne me rappelle de rien de ce qui a suivis.

*************A l'aube**************

Le soleil me brûlait les yeux. J'étais allongée par terre, les cheveux en désordre. Ma migraine était partie apparemment, je me levais doucement et fut étonnée par ma vivacité. Je m'avançais doucement dans la clairière mais que je me souvint le l'emplacement de mon frère, il s'était volatilisé. Mes cheveux étaient mouillés, il avait plut. Alors que je marchais, je remarquais une flaque clair. J'eu du mal à mon reconnaître, mes prunelles étaient d'or. J'en restais muette. Ma transformation était total, jamais je n'aurais pensé voir un jour une créature plus belle. Et finalement j'étais cette personne. Mais mes maux revinrent. Je me souvint de mes frères et sœurs et de mon "ami" le Vampire. Je m'assis par terre et me regarda dans la flaque. Je sourit d'un air hésitant...

Non!

Dents pointues et d'une blancheur éclatante...J'étais devenue Vampire... Je me levais et hurler de rage. On aurait dit le rugissement d'une bête sauvage. J'étais folle de rage. J'avais plusieurs objectifs: Retrouver mes frères et sœurs et retrouver mon cher Vampire. Pour commencer je voulais absolument le trouver celui-là. Dans les contes que l'on m'avais raconter on mentionné la Sylvanie. Très bien, partons en Sylvanie. S'il n'était pas là bas, il était donc errant. Malgré ma haine envers les Vampires, je partais les chercher...



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Ouch ! ^^ tu y es allé fort, dis-moi